Guide de l'entretien d'embauche : le déroulement de l'entretien

Par Expert Monster

Bien préparé et confiant : voilà une bonne base pour se rendre à l’entretien d’embauche. Cependant, le déroulement de ce rendez-vous et le « climat » entre le recruteur et vous-même seront essentiels.

Volet 1 : préparation

Volet 2 : Déroulement de l‘entretien

Volet 3 : 16 conseils décisifs

Avant l'entretien

Fermons-les yeux et allons-y ! Non, ceci n’est pas une bonne solution. Lorsque vous irez à l’entretien d’embauche, soyez concentré, mais calme, serein et confiant par rapport à vos points forts. En effet :

  • Vous vous êtes bien préparé au préalable. (>> Lire aussi le volet 1 : préparation)
  • Vous avez votre dossier de préparation avec vous sur lequel vous pouvez vous
    « appuyer ».
  • Vous connaissez vos points forts, les accomplissements que vous avez réalisés jusqu’ici.
  • Vous êtes convaincu d’être la personne idéale pour l’emploi concerné.

Mais attention : soyez sûr de vous et confiant, mais sans exagérer !

Veillez à arriver au moins dix minutes avant l’heure du rendez-vous dans la société. Au cours du quart d’heure précédant l’entretien, ne vous plongez pas dans votre dossier, mais essayez de vous détendre et distraire quelque peu : mangez quelque chose (un estomac qui gronde ne fait pas bonne impression !), buvez une gorgée d’eau, écoutez la radio, parlez – ou mieux encore – chantez à voix haute dans votre voiture pour « huiler » votre voix…

Un point important : n’oubliez pas d’éteindre votre téléphone cellulaire.

Langage du corps

Dans la plupart des formations en la matière, le message clé est : l’impression qu’une personne fait sur quelqu’un dépend pour 10 % de ce qu’elle dit ou sait, donc des contenus échangés, et pour 90 % de son comportement, son attitude, sa manière de parler, donc de la manière dont elle se présente, de son charisme, du son et de la tonalité de sa voix, de son éloquence et de sa manière de s’exprimer.

Veillez donc tout particulièrement au langage corporel : votre mimique (les yeux, les traits du visage…), le gestuel (les mains, les bras…), la voix et la posture (en position assise ou debout, en marchant).

  • Mimique

Exemples négatifs Signal donné
Nez qui se fronce, rétrécissement des pupilles, froncement du front ou battements très fréquents des paupières Insécurité
Sourcils relevés, yeux écarquillés ou bouche ouverte Etonnement ou même scepticisme
Lèvres serrées Tension intérieure
Yeux / regard fuyants Gêne, malaise ou même désintérêt
Exemples positifs Signal donné
Garder le contact avec les yeux Intérêt
« Léger » sourire dans les yeux Ouverture d’esprit, amabilité
  • Gestuel

Exemples négatifs Signal donné
Tambouriner (avec les doigts) sur la table Insécurité, tension
Former un toit pointu avec les mains dirigé vers / sur l’interlocuteur Insécurité et refus
Croiser les mains sur la poitrine ou croiser les bras Insécurité, forte tension, repli sur soi-même
Exemples positifs Signal donné
Pupilles élargies Intérêt
Mouvements des bras au-dessus de la taille Sécurité
  • Voix

Exemples négatifs Signal donné
Voix peu audible Insécurité
Marmonner, parler de manière peu compréhensible Insécurité
Parler très lentement Insécurité, manque de dynamisme
Parler trop vite Nervosité
LaParler d’une voix forte, très bruyante, tapageuse Arrogance, prétention
Exemples positifs Signal donné
Parler de manière très claire et compréhensible Intérêt pour les échanges
Parler d’une voix ni trop forte ni trop faible Sécurité
  • Posture

Exemples négatifs Signal donné
Position assise très (trop) décontractée Prétention, désintérêt
S’asseoir sur le rebord avant du siège Insécurité, tension
Tourner le haut du corps vers le côté (se détourner de l’interlocuteur) Prétention, désintérêt, refus
S’adosser Refus, créer une distance
Se tenir le buste avec les bras croisés Refus, repli sur soi-même
« Enlacer » les chevilles « autour » des pieds de chaise Insécurité, tension
Balancer un pied ou une jambe Nervosité, désintérêt
Exemples positifs Signal donné
Posture bien droite (en position debout ou assis) Sécurité
Duplication du comportement de l’interlocuteur Approbation, intérêt (empathie)
Rapprocher le torse vers l’interlocuteur Approbation, intérêt (empathie)

Impossible de ne pas communiquer

Dans ce contexte, n’oubliez pas que l’on émet constamment des signaux avec son corps. Par analogie à Paul Watzlawick qui a déclaré « Impossible de ne pas communiquer », il faut se rendre à l’évidence qu’il est impossible de « ne pas se comporter ».

Par conséquent, même en voulant « faire mine de rien », une personne signale clairement que le sujet l’intéresse peu ou tout au moins qu’elle n’a pas envie de s’exprimer sur le sujet concerné.

Efforcez-vous de vous exprimer avec clarté et évitez les tournures vides de sens telles que « et bien », « vous voyez / vous savez », « disons », « éventuellement », etc. ou – pire – d’ajouter systématiquement en fin de phrase une formule récurrente du type « d’accord ? » ou « n’est-ce pas ? » ou encore « vous me comprenez ? ».

Restez à tout moment factuel et évitez toute émotion débordante. N’interrompez en aucun cas votre interlocuteur pendant qu’il parle.

Les 5 étapes de l'entretien

Les entretiens d’embauche se déroulent généralement en respectant un certain schéma. Néanmoins, il ne s’agit pas de « cocher » un volet après l’autre pour arriver au bout ! N’oubliez pas : cet entretien est votre unique opportunité de convaincre cet employeur précis. Par conséquent, il s’agit de veiller à chacun des aspects avec grande attention.

1. Accueil

Aujourd’hui comme hier : c’est la première impression qui compte. Et cette première impression se forme en quelques secondes. Vous aurez par la suite beaucoup de mal à atténuer les points négatifs que votre interlocuteur aura enregistrés durant ce très bref premier contact.

Voici quelques conseils pour vous aider :

  • Allez au devant de votre interlocuteur avec un visage ouvert, aimable. Un regard craintif dû à une trop forte tension interne est déjà un point négatif pour le recruteur.
  • La manière dont vous serrerez la main de votre interlocuteur doit montrer votre détermination, sans pourtant lui écraser la main !
  • Si vous avez tendance à transpirer au niveau des mains lorsque vous êtes nerveux, placez au préalable un mouchoir en étoffe dans votre poche droite. Vous pourrez ainsi, en glissant rapidement la main dans votre poche, dans un geste naturel juste avant de donner la main à votre interlocuteur, sécher quelque peu votre main droite.
  • Remerciez votre interlocuteur de l’invitation à l’entretien, toutefois sans afficher un comportement trop débordant.
  • Ne prenez place qu’après avoir été invité par votre interlocuteur à le faire et dites brièvement « merci ».
  • Prenez une position confortable, mais pas trop décontractée.
  • Important : mémorisez les noms des personnes avec lesquelles vous parlez ; le cas échéant, notez-les sur votre bloc – c’est tout à fait autorisé ! Si une personne vous remet sa carte de visite, prenez quelques secondes pour la regarder, ne serait-ce que par simple politesse..

2. Warming-up et small-talk

Cette phase est plus importante que l’on ne croit car c’est là que vous avez l’opportunité de marquer quelques « bons points ». Il n’est pas rare que le recruteur aille chercher le candidat à l’accueil, c’est-à-dire à la réception de la société.

Dans ce cas, efforcez-vous d’éviter le gros silence lorsque vous l’accompagnerez vers l’endroit où aura lieu l’entretien, dans l’ascenseur, dans la cour ou les longs couloirs que vous traverserez.

Observez votre environnement avec attention et mentionnez par exemple les « bâtiments modernes », la « cour intérieure joliment aménagée », les « bureaux spacieux » que vous verrez au passage, etc.

Si vraiment vous ne savez pas ou plus de quoi parler, évoquez votre voyage (qui a évidemment été très agréable et intéressant !) ou la ville attractive que vous ne connaissiez pas encore ou qui a bien changé depuis votre dernière visite…

A propos : il est judicieux de jeter un coup d’œil dans le journal du jour où vous trouverez certainement l’un ou l’autre sujet susceptible d’alimenter la conversation. Mais attention ! Ne choisissez ni un sujet délicat ni une question d’actualité politique.

3. L’interview

Attendez-vous à avoir un entretien avec au moins deux interlocuteurs. Le recruteur vous questionnera entre autres sur votre parcours professionnel et votre motivation.

Le deuxième interlocuteur est généralement le responsable du département dans lequel vous êtes susceptible de travailler si vous êtes embauché. Ce dernier s’intéressera avant tout pour votre qualification professionnelle.

  • L’entreprise

Le recruteur vous demandera ce que vous savez de l’entreprise auprès de laquelle vous postulez et ce que vous voulez encore savoir. Ne dites en aucun cas : « Merci, je sais tout ce que je dois savoir » ! C’est maintenant que le dossier que vous aurez préparé va s’avérer être un outil précieux.

Référez-vous aux différents points que vous aurez notés. Par ailleurs, la société en question a éventuellement fait l’objet d’un article de presse dans les jours précédant votre entretien. Mais attention : évitez les sujets délicats !

  • L’emploi concerné

Le recruteur décrira le profil de l’emploi à pourvoir et fera le lien avec votre candidature. Puis il vous posera une série de questions sur votre formation et qualification, votre parcours professionnel, votre dernière position ainsi que les raisons de votre candidature.

Votre mission dans le nouvel emploi, la phase d’initiation, la description de poste, les mesures de formation, les opportunités d’évolution font partie des sujets qui seront également abordés. Votre salaire et les prestations sociales proposées par l’entreprise seront éventuellement traités dans un deuxième entretien.

  • Questions d’approfondissement

C’est maintenant le moment où on vous posera des questions plus « délicates », l’objectif étant d’apprécier les points suivants : votre esprit d’équipe, votre personnalité, le niveau de performance et votre disposition à fournir le meilleur de vous-même, votre capacité à faire face à des situations stressantes, etc.

Le recruteur se demande : le ou la candidat(e) est-il (elle) en mesure de s’intégrer ? De raisonner logiquement ? Comment s’exprime-t-il (elle) ? Est-il (elle) en mesure de s’affirmer, d’évoluer, de faire face en situation de conflit… ? Qu’en est-il de sa créativité ?

Le recruteur n’analysera pas seulement vos réponses sur le plan du contenu, mais aussi par rapport à la manière dont vous répondrez : réponses brèves, détaillées ou débordantes, éventuellement pour dévier du sujet ? Etes-vous tendu et nerveux ou bien calme et serein ? Que peut-on lire sur votre visage, comment est votre gestuel, votre posture ?

  • Votre personne, votre caractère et vos valeurs

Les questions concernant votre situation de famille, vos loisirs, éventuellement votre état de santé, votre situation financière (dans la mesure où ceci a quelque importance pour l’emploi concerné, par exemple s’il s’agit d’un poste de caissier) seront posées dans la plupart des cas par le recruteur. En répondant, soyez calme et aimable, même s’il s’agit de questions portant sur votre vie intime.

Exemple : Si on vous demande comment vous planifiez votre future vie familiale, il serait tout à fait déplacé de dire : « Je ne vais certainement pas vous le dire » ou bien « Vous n’avez pas le droit de me poser cette question ». Ceci marquerait la fin de « l’aventure » !

Répondez par exemple (si cela convient) : « J’ai encore le temps d’y réfléchir. Dans un premier temps, je souhaite me concentrer sur ma carrière professionnelle. »

  • Compétence métier

C’est le volet dans lequel intervient généralement le responsable du département dans lequel vous serez éventuellement affecté. Dans cette phase, il s’agit de montrer de quoi vous êtes capable sur le plan purement « métier ». Dans le cas idéal, vous aurez un entretien tout à fait intéressant.

Cette personne, le responsable, vous conduira éventuellement dans votre futur service pour que vous puissiez vous faire une idée par exemple du parc de machines que vous aurez à suivre techniquement ou bien pour faire connaissance de vos futurs collègues.

  • Questions pièges et questions tests

Face à des questions du type « quelles sont les trois valeurs majeures pour vous ? » ou bien « quels sont les cinq objets que vous emporteriez sur une île déserte ? », faites très attention ! En effet, il ne suffit pas de répondre à la première question par exemple « honnêteté, respect et le sens des responsabilités » et de citer dans le second cas simplement cinq objets. Attendez-vous à ce que le recruteur vous prie d’expliquer et de motiver votre choix.

Parmi les tests les plus appréciés auprès des recruteurs : « Essayez de me vendre ce stylo ! », l’une des questions les plus fréquentes dans cette phase est : « Selon vous, comment nos produits se démarquent-ils par rapport à ceux de nos concurrents ? ». Réagissez avec calme, le but de ce test est justement de vérifier votre capacité à faire face à une situation de stress.

Une question particulièrement « épineuse » posée par le recruteur est : « Quel est l’effet que je fais sur vous dans cet entretien d’embauche ? ». Ne commencez pas à chanter ses louanges et à lui faire des compliments ou à confirmer que vous vous êtes « vraiment senti à l’aise avec lui ». Même s’il vous demande de procéder à une critique constructive et que vous avez l’impression que sa requête est sans arrière-pensée, ne vous avancez pas sur ce terrain. Passez au méta-niveau et dites avec un gentil sourire exempt de toute ironie : « Cela fait un peu l’impression d’une petite question-piège. Pourrions-nous rebondir sur le descriptif de poste ? J’ai encore une question à vous poser à ce sujet… ».

Sous peu sur ce site : Les questions posées par le recruteur et ce qu’elles peuvent cacher.

4. A vos questions, prêt, partez !

Lorsque le recruteur vous demandera si vous avez encore des questions, dites dans tous les cas « oui ». Ceci ne témoignera pas seulement de votre intérêt pour l’entreprise, d’une personnalité qui s’affirme et aussi d’un bon travail de préparation (là aussi, le dossier que vous aurez préparé fera ses preuves).

C’est également votre opportunité de clarifier tous les points qui n’auront pas encore ou pas suffisamment été traités.

Mais là aussi, soyez prudent et ne vous laissez pas tromper par une invitation du genre : « N’ayez crainte de poser toutes les questions que vous voulez ! ». Certains sujets ne doivent en aucun cas être abordés - tout au moins à ce stade de la démarche.

Exemples de questions que vous pouvez poser, voire qui sont recommandées… Exemples de questions qu’il vaut mieux NE PAS poser (de cette façon) …
Quels sont les challenges majeurs de cet emploi ? Quand aurai-je ma première augmentation de salaire ? Que puis-je espérer avoir comme promotion dans les prochaines années ?
Quels sont les objectifs majeurs à atteindre dans la première année ? Que se passera-t-il si je ne réussis pas à atteindre les objectifs fixés ?
Quels sont les indicateurs de mesure de réussite ? Serai-je obligé de faire des heures supplémentaires ?
Quel est l’aspect le plus important : le travail d’équipe ou le travail individuel ? La mission de commercial sédentaire ou d’itinérant ? Quels sont les congés ? Quand pourrai-je prendre mes premiers congés ?
Quelle est la durée de la période d’initiation ? L’emploi est-il lié à des conditions avantageuses quelconques ?
Serait-il possible que vous me montriez mon futur bureau ? … que je fasse connaissance de mon futur hiérarchique / de mes futurs collègues ? Avez-vous déjà eu dans l’entreprise un manager qui n’a pas réussi à s’arranger avec son équipe ?
Quels sont les départements avec lesquels j’aurai à collaborer ? Dans quelle catégorie d’hôtel pourrai-je descendre lors des déplacements ?
Pourriez-vous me parler de la culture d’entreprise ? Aurai-je droit à un téléphone cellulaire ? … à une voiture de service ?
Le poste est-il lié à des interventions prolongées à l’étranger ? Etes-vous la personne qui va décider de mon éventuelle embauche ?
Pour quand puis-je escompter une décision quant à cet emploi ? Selon vous, ai-je de bonnes chances d’obtenir cet emploi ?

Eliminez toute question commençant par « pourquoi » car elles mettent en évidence une attitude critique. Posez des questions « ouvertes » (comme dans les exemples ci-dessus).
A propos : il y a un certain nombre de « questions idiotes » à proscrire. En effet, il s’agit de tout ce que vous pouvez éclaircir au préalable en faisant quelques recherches, par exemple par une simple visite sur le site Internet de la société. Exemples : Où se trouve le siège de la société ? Combien d’usines avez-vous en Suisse ?

Et il n’est pas vraiment judicieux de demander à votre interlocuteur si le climat social est bon dans l’entreprise ou si votre futur chef est « sympa » : c’est comme si vous demandiez à un poissonnier si son poisson est bien frais !

5. Dernière phase : prendre congé

Ce n’est pas vous, mais votre interlocuteur qui signale que l’interview touche à sa fin. Même si ce dernier ferme le dossier qu’il a devant lui, attendez qu’il se lève pour en faire de même. Se lever avant lui signalerait que vous êtes soulagé que « ce soit enfin fini » !

Mettez-vous d’accord avec le recruteur sur la ou les prochaines étapes : il vous dira si c’est la société qui va se manifester ou s’il attend que vous le recontactiez et dans ce cas, quand.
Remerciez-le de « l’agréable et intéressant entretien » et prenez congé en lui donnant la main, énergiquement, mais là aussi sans lui broyer les os !

Restez concentré aussi dans cette dernière phase. Un regard par la fenêtre accompagnée d’une remarque du genre « Ah, vos équipes quittent déjà l’usine… » serait complètement déplacé.

Bouclage et suivi après l'entretien

Le jour même, au plus tard le lendemain de votre entretien d’embauche, faites un bilan pour vous-même :

Quels ont été les éléments positifs, les éléments moins positifs et ceux qui étaient franchement négatifs ? Analysez chacun des points : gestuel, mimique, voix, posture, vos réponses aux questions posées ainsi que vos propres questions, etc.
Marquez les points négatifs pour les améliorer lors d’un éventuel futur entretien d’embauche.

Selon vous, quelle est l’impression que vous avez faite sur votre ou vos interlocuteurs ? Pensez-vous avoir pu marquer des points pour obtenir le poste ?

Demandez-vous si vous pouvez trouver dans cette société ce que vous recherchez, vous y sentir à l’aise et pouvoir y réaliser vos objectifs professionnels ? Les critères définis par l’entreprise, les attentes de vos interlocuteurs répondent-ils à votre profil et à votre capacité et disposition à être performant ? L’activité professionnelle décrite pourra-t-elle s’inscrire dans le cadre de votre vie privée (famille, loisirs, etc.) dans le sens d’une « work life balance » ?

Dans les deux jours consécutifs au rendez-vous, vous enverrez à votre interlocuteur dans le service du personnel une lettre (ou éventuellement un courrier électronique) pour renouveler vos remerciements et montrer que vous êtes toujours intéressé par le poste. Ce feedback, qui peut également avoir lieu par téléphone, marquera un nouvel atout sur votre compte.

Minimiser les déconvenues en choisissant bien les offres d’embauche

Attention, porte ouverte prête à être enfoncée : postuler à une offre d’emploi qui nous correspond, c’est minimiser les mauvaises surprises en entretien. Et oui, en effet, mais trouver la perle rare n’est pas toujours chose aisée !

Chez Monster, nous vous proposons des postes à pourvoir qui vous conviennent vraiment. Comment postuler ? En créant son profil gratuit et y mettant son CV. Et oui, rien de plus !

(Giselle Chaumien-Wetterauer, GCW Communications / photo: Pressmaster, Fotolia.com)